Guide des bonnes pratiques de l’UX design

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Acteurs du marketing digital, CEO ou porteurs de projets, nous connaissons tous le terme d’UX design. Bien plus qu’une pratique courante, c’est la passerelle entre une plateforme web efficiente et ses utilisateurs. 

C’est une discipline centrée sur le développement d’une expérience utilisateur optimale, visant à créer des produits, services et interfaces numériques de haute qualité. C’est donc en mettant l’accent sur l’optimisation de l’expérience client que l’UX intervient en tant que protagoniste de vos projets digitaux

À travers multiples pratiques et méthodes, allant de l’anticipation des besoins et attentes des utilisateurs finaux à la conception d’interfaces compréhensives et persuasives. Le webdesign est incontournable sur le chemin de votre plateforme idéale. 

Vous l’aurez compris, l’objectif ultime de l’UX design est de garantir que vos utilisateurs puissent interagir de manière fluide avec votre plateforme, qu’elle soit une application ou encore un site web. Un processus qui repose sur des facteurs tels que la facilité d’utilisation, la convivialité, l’ergonomie, la pertinence, l’accessibilité et l’esthétique.

Pour vous aider à y voir un peu plus clair sur le sujet, nous vous avons concocté nos bonnes pratiques de l’UX design, applicables autant pour vos ambitions de sites web et même applications web et mobiles. 

Bonne pratique UX n°1 : La phase de user research 

L’UX research est la première étape charnière de votre cheminement vers votre projet web, ainsi que votre processus de conception. Comme son nom l’indique, elle est centrée sur l’utilisateur, et consiste à mener une série d’études et investigations à la fois qualitatives et quantitatives qui vous aideront à concevoir l’ergonomie de l’interface. Souvent menées par l’équipe UX, et principalement par un UX researcher, l’objectif de cette démarche est de mettre en lumière les besoins réels des utilisateurs finaux, de ainsi de comprendre leurs attentes et leurs éventuelles frustrations.

Une bonne pratique qui servira de fondations au projet, et qui sera l’outil indispensable de tout UX designer. Car cette collecte de données fournira des informations cruciales permettant de concevoir un produit ou un service qui non seulement présente une interface esthétiquement plaisante, mais qui est également fluide et adaptée aux besoins de toutes les catégories d’utilisateurs.

Une approche qui permettra également d’éviter les incohérences entre le produit et les attentes de l’utilisateur final, et ainsi d’économiser du temps et de l’argent qui auraient été consacrés à la correction d’éventuelles erreurs, et finalement, de créer une expérience utilisateur web optimale.

Les étapes 

La première étape de ce processus, souvent appelée “phase de découverte” est cruciale à la suite de la démarche. Elle consiste à un immersion totale dans la psychologie de l’utilisateur via différentes méthodes telles que : 

  • Les interviews : Ils permettent d’ouvrir un dialogue direct avec l’utilisateur et ainsi de récolter des données concrètes et sincères ou encore des témoignages et retours d’expériences.
  • Les benchmarks : Via une étude concurrentielle, sectorielle ou précise sur des offres ou services, ils identifient les réussites et points d’améliorations du marché. 
  • L’analyse concurrentielle : Elle permet de comprendre et évaluer les performances des concurrents afin d’en déduire quel produit pourra se démarquer, et surtout comment. 

 

La seconde étape “l’écoute”, étant plus concentrée sur une collecte de données plus concise et exhaustive. Pour ce faire, des outils fondamentaux : 

  • Les études quantitatives : Souvent sous forme de sondages, questionnaires ou études chiffrées et quantifiées, elles offrent une vision globale des tendances, préférences et comportements des utilisateurs. 
  • Les études ethnographiques : Elles servent à cerner les interactions et comportements des utilisateurs 
  • Les entretiens : Qu’ils soient individuels ou de groupe, c’est un moyen de recueillir les récits personnels précis et réactions sociales 

 

Cette phase d’UX research se finalise avec la rédaction d’un rapport détaillé synthétisant l’ensemble des données collectées durant tout le processus. Il analyse les situations, réactions et interactions, en identifiant les points de douleur, défis et opportunités auxquels les utilisateurs font face. Mais il est aussi le support du parcours UX, étant le récapitulatif des trajectoires des utilisateurs sur l’interface, nous y reviendrons juste après. 

Ce rapport propose donc des solutions à l’ensemble des points d’accroche identifiés précédemment.

En somme, une recherche UX bien menée est l’élément clé de la réussite d’un projet UX, elle est une bonne pratique car incontournable à votre démarche. Elle permet de guider la conception et le développement du produit ou du service, en mettant l’accent sur la création d’une expérience utilisateur optimale.

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Bonne pratique UX n°2 : Le parcours utilisateur 

Aussi appelé carte d’expérience, le parcours des utilisateurs est un outil visuel représentant de manière détaillée l’expérience de l’utilisateur lors de l’interaction avec l’interface produit. Il a pour fonction de permettre aux visiteurs de réaliser leur trajet de la manière la plus fluide possible en cartographiant leur cheminement mental, leurs besoins et leurs émotions tout au long de ce parcours. Une bonne pratique en UX, car indispensable au bon développement du produit finalement. 

Pour construire votre carte d’expérience, il vous faudra répondre à trois questions : 

  • Les usages : Quelles sont les étapes concrètes que l’utilisateur effectue pour atteindre ses objectifs ? Quelles interactions entreprend-il lors de son parcours ? Lesquelles sont spécifiques pour parvenir à ses fins ?
  • Les besoins : Quelles pensées, réflexions et besoins traversent l’esprit de l’utilisateur tout au long de son parcours ? Quelles sont les motivations profondes qui poussent à entreprendre certaines actions ? Quels sont les doutes et les incertitudes qui peuvent surgir ?
  • Les sentiments : Quelles émotions l’utilisateur ressent-il à chaque étape de son parcours et lors de ses interactions avec le produit ou le service ? Comment évalue-t-il son niveau de satisfaction ou de frustration à différents moments de l’expérience ? Quelles émotions dominent lors de ses interactions avec le produit ou le service ?

 

La construction de votre carte expérience implique donc la phase de recherche énoncée précédemment, et réunit l’ensemble des membres de l’équipe dans le but de raconter l’histoire complète de l’expérience grâce à une interface utilisateur intuitive. 

Pour réussir votre parcours, il doit être clair, inspirant et centré sur l’utilisateur ! 

 

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Bonne pratique n°3 UX : Le wireframe 

Dans le contexte de l’UX design, le wireframe est l’outil essentiel à la conception de l’interface du produit. Les wireframes sont des schémas visuels simplifiés, généralement en noir et blanc ou en niveaux de gris, qui permettent aux concepteurs et aux développeurs de planifier la disposition des éléments, la navigation, et la hiérarchie de l’information sans se préoccuper de la conception graphique détaillée ou des couleurs.

Pourquoi faire un wireframe ? 

  • Faciliter la communication : Les wireframes servent de langage commun entre les membres d’une équipe de projet, les clients et d’autres parties prenantes. Ils aident à visualiser et à discuter de la structure et de la fonctionnalité d’une page sans se laisser distraire par les aspects visuels.
  • Se concentrer sur l’expérience utilisateur : Ils permettent aux concepteurs de se concentrer sur des éléments essentiels tels que la navigation, la disposition du contenu, et la facilité d’utilisation. 
  • Planifier le développement du contenu : Anticiper la structure du contenu et s’assurer qu’elle correspond aux objectifs du site ou de l’application. Cela aide à éviter la dérive des objectifs, où que le contenu devienne excessif ou hors sujet.
  • Faciliter les retours d’informations et les modifications : Les wireframes permettent d’apporter des ajustements et des modifications plus facilement qu’une conception graphique complète.

 

Les types de wireframes

Il en existe plusieurs types, différenciés par leur complexité du plus simple au complet. Le choix du wireframe dépend des besoins du projet ainsi que du public cible.

Quelques formats courants : 

  • Wireframe de base : Des schémas en noir et blanc ou en niveaux de gris qui définissent la structure de base de la page.

Wireframe-classique

  • Wireframe annotés : Ils incluent des notes explicatives pour détailler chaque élément de la page, ce type de wireframe peut servir à concevoir une maquette.

exemple-wireframe-annoté

  • Wireframe de flux d’utilisateur : Ils illustrent les scénarios d’utilisation des futurs utilisateurs.

wireframe-dynamique

  • Wireframe interactif haute définition : Ils permettent de simuler des interactions telles que les clics et les survols de souris, avec une mise en scène réaliste aussi appelée maquette ou mock up. Ce type de wireframe interactif pourra servir à produire un premier prototype du produit.

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Dans le cas du wireframe, la bonne pratique est de l’appliquer à son projet, mais aussi et surtout de choisir le format adapté à vos besoins !

Bonne pratique UX n°4 : Créez une interface intuitive 

Guidez le regard de vos utilisateurs 

Lorsqu’ils arrivent sur une page, les utilisateurs scannent le visuel et en déduisent une organisation des informations dans le but de les interpréter. L’organisation des informations est donc fondamentale. 

C’est à ce moment qu’intervient la théorie de la Gestalt, une approche de la psychologie expliquant comment notre cerveau perçoit visuellement les formes et les éléments. Elle repose sur trois principes clés, qui aident les concepteurs d’interfaces à créer des designs compréhensibles : 

  • La loi de la bonne forme : Ce principe repose sur notre tendance naturelle à percevoir des éléments distincts comme une forme globale et cohérente. Par exemple, si des éléments sont placés ensemble, les utilisateurs les voient comme un tout unifié. 
  • Loi de la Proximité : Cette loi stipule que des éléments visuels proches les uns des autres sont perçus comme formant un groupe. 
  • Loi de Similarité : Selon ce principe, des éléments visuellement similaires, que ce soit en termes de couleur, de forme ou de taille, sont regroupés mentalement par les utilisateurs. 

 

Trois principes qui permettent lorsqu’ils sont compris, de manipuler avec discernement la disposition, la proximité et la similarité des éléments sur un écran pour guider le regard des utilisateurs de manière intentionnelle. Une pratique qui pourrait vous apporter beaucoup, si bien exécutée !

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Catégorisez 

L’organisation des informations dans une interface est cruciale pour aider les utilisateurs à trouver rapidement ce qu’ils cherchent. Pour ce faire, il est essentiel de comprendre comment les informations sont stockées dans la mémoire des utilisateurs, devant être similaire à l’architecture de l’information définie.

Selon la théorie de Collins & Quillian (1969), notre mémoire organise les concepts de manière hiérarchique. Par exemple, le concept de « saumon » est rangé sous « poisson », qui est à son tour sous « animal », avec des attributs communs à chaque niveau.

Vous pouvez donc tirer parti de cette organisation mentale, afin de mener l’utilisateur à destination. L’idée de cette bonne pratique est de permettre aux utilisateurs de se créer des hypothèses pour rechercher l’information qui les intéresse en fonction de la proximité sémantique dans leur mémoire.

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L’arborescence

L’arborescence d’un site ou d’une application mobile ou web est la structure et l’organisation des pages, formant le squelette sémantique du site. Elle définit la connexion entre les pages de manière stratégique, semblable à un arbre, avec un tronc, des branches et des feuilles. La page d’accueil est le point de départ, suivie de catégories et sous-catégories.

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Bien conçue, cette pratique UX facilite la navigation sur l’interface, pour un accès à l’information plus fluide, et optimise le référencement naturel de la plateforme.

Pour ce faire, regroupez visuellement des éléments qui ont des relations sémantiques proches, comme « saumon » et « truite ». Cela aidera les utilisateurs à se repérer plus facilement. Par exemple, la boutique catégorise chaque rayon et type de produit, afin de créer une logique sur sa boutique en ligne. 

 

Rendez vos textes lisibles 

Les utilisateurs lisent en moyenne 25% moins vite sur écran que sur des supports papiers, et cela entraîne une fatigue visuelle plus rapide en raison de la luminosité et des images. Elle est connue sous le nom de syndrome de la vision par ordinateur, et affecte 90% des personnes utilisant plus de trois heures par jour un écran.

Lorsque nous lisons, nos yeux font des mouvements rapides (saccades) pour fixer les mots, puis des arrêts plus longs (fixations) pour saisir l’information. La longueur des lignes de texte peut influencer ces mouvements oculaires, par ailleurs pour améliorer la lecture sur écran, il est conseillé : 

  • D’utiliser des lignes de texte courtes à moyennes
  • Privilégier des phrases courtes
  • Ajouter des sauts de ligne pour aérer le contenu
  • Utiliser un contraste élevé entre le texte et l’arrière-plan, et utiliser une typographie lisible et compréhensible
  • La présentation du texte devrait également être claire et concise, évitant les ambiguïtés et favorisant l’utilisation d’images, de schémas ou de vidéos lorsque cela est possible pour renforcer la compréhension

 

D’ailleurs, l’ensemble de ces bonnes pratiques en sont également en matière d’accessibilité numérique jusqu’à des obligations légales pour certaines ! 

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Bonne pratique UX n°5 : Un design persuasif 

Le design persuasif est une approche clé du design thinking, ayant pour but d’influencer les comportements des utilisateurs dans divers domaines. Il repose sur un cadre de huit étapes, développé par B.J. Fogg en 2009. Ces étapes offrent un guide flexible pour concevoir des solutions persuasives adaptées au contexte, aux utilisateurs, et aux domaines d’application spécifiques. Cette démarche est la clé de la conversion et la charnière de vos performances. 

A noter, qu’Il est possible de ne pas suivre strictement l’ordre des étapes, car certaines d’entre elles peuvent être travaillées en parallèle, comme les étapes 1 et 2, ou les étapes 5 et 6.

 

  • Choisissez un comportement simple à cibler 
      • Identifiez le comportement que vous souhaitez déclencher chez l’utilisateur. Par exemple, si vous concevez une application de fitness, le comportement cible pourrait être de faire 30 minutes d’exercice par jour.
      • Optez pour une possibilité simple et surtout réalisable, pour permettre par la suite de grandir vos attentes
  • Identifiez une audience réceptive 
      • Choisissez et identifiez des personnes ou groupes propices au changement 
      • Pour l’aspect opérationnel, vous devez segmenter votre public en fonction de critères démographiques, comportementaux et psychographiques. Cela peut être fait à l’aide de CRM ou d’analyses de données.
  • Trouvez ce qui empêche le comportement cible
      • Menez des études de marché et des enquêtes pour comprendre les motivations, les obstacles et les déclencheurs potentiels pour votre public.
      • Mettre en place des systèmes de suivi pour mesurer la motivation, les compétences et les déclencheurs. Cela peut inclure des enquêtes en ligne, des analyses comportementales ou des tests de convivialité.
  • Choisissez un canal de communication habituel 
    • Il est important de sélectionner un canal familier à l’audience cible
    • Il doit garantir que le message atteigne efficacement les utilisateurs.

      5 & 6. Trouvez des exemples pertinents et imitez les réussites 

    • Étudier les méthodes et les stratégies qui ont prouvé leur efficacité dans d’autres domaines, est un moyen de gagner du temps et d’éviter des essais-erreurs coûteux.

 

  • Tests et itérations 
    • Différentes approches de test peuvent être utilisées, y compris des tests en conditions réelles, des mini-tests utilisateurs et des tests A/B.
    • Ils sont essentiels pour mesurer les changements de comportements et ainsi évaluer le design mis en place

 

  • Extension du succès 
    • Cette dernière étape consiste à réutiliser le processus pour les prochains changements comportementaux souhaités. 

 

Cette pratique puissante peut influencer positivement le comportement des utilisateurs et offre la possibilité de procurer des expériences persuasives et impactantes.

Bonne pratique UX n°7 : Les méthodes de test utilisateur 

Les tests utilisateurs, aussi appelés test d’utilisabilité, sont une approche fondamentale en matière de conception de produits et services axés sur l’expérience utilisateur, et une bonne pratique incontournable de votre processus de conception ! 

C’est une méthode d’évaluation dans laquelle des individus représentent le public cible d’une plateforme, et sont invités à interagir avec dans un environnement contrôlé et prédéfini. Ils sont encouragés à accomplir des tâches spécifiques, alors que les observateurs notent leurs réponses, réactions et difficultés éventuelles. Ces tests se déroulent dans les conditions les plus réalistes qu’il soit, après le prototypage du produit.

 

Plusieurs types de tests existent, ils sont établis en fonction des objectifs de l’évaluation et du stade de développement du produit : 

  • Tests UX : Ils visent à évaluer l’ensemble de l’expérience que les utilisateurs ont avec le produit final. Par exemple, pour une application de navigation, il pourrait étudier comment elle influence la manière dont les utilisateurs se déplacent dans une ville. Il vous sera possible de le créer vous même de toute pièce, mais aussi de passer par le biais de plateformes web dédiées aux tests UX.

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  • Tests d’utilisabilité : Ils sont destinés à évaluer la facilité d’utilisation d’un produit. Les participants reçoivent des tâches spécifiques à accomplir, telles que trouver un produit sur un site de commerce électronique, afin de déterminer si l’interface est intuitive et efficace.
  • Recherche utilisateur : Cette étape se produit souvent avant le développement d’un produit. Elle vise à comprendre les besoins, attentes et préférences du public cible. Par exemple, une entreprise pourrait réaliser des entretiens et des enquêtes pour recueillir des informations précieuses sur les préférences des utilisateurs concernant un nouveau produit.

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  • Tests d’acceptation utilisateur : Ces tests se produisent vers la fin du processus de développement, et les utilisateurs cibles testent le produit en utilisant des critères prédéfinis pour évaluer sa performance. Par exemple, un logiciel d’entreprise serait soumis à un groupe d’utilisateurs professionnels pour déterminer s’il répond à leurs besoins.

 

Effectuer des tests offre de nombreux avantages : 

  • Identification à temps des problèmes d’utilisabilité 
  • Optimisation de la satisfaction client par le biais de l’expérience utilisateur 
  • Amélioration du taux de conversion 
  • Évaluation du succès d’un produit 
  • Réduction des risques 

 

En somme, les tests utilisateurs sont une démarche essentielle pour garantir que les produits et services satisfont les besoins des utilisateurs, améliorent l’efficacité, minimisent les coûts de révision et renforcent la satisfaction client. Ils combinent des méthodes qualitatives et quantitatives pour fournir des informations concrètes et éclairantes tout au long du cycle de développement.

Bonne pratique UX n°8 : Les workshops

Aussi appelés ateliers dans le cas de l’UX, c’est une méthode de travail collaborative souvent utilisée dans le domaine de la création, du digital ou de la gestion de projet. Des ateliers consistant à réunir autour d’une table de travail, des personnes concernées par un projet qu’il s’agisse des utilisateurs finaux, de personnes impliquées dans le projet, ou d’autres parties prenantes. Ces participants collaborent ensemble pour résoudre un problème ou aborder une question spécifique. L’animateur de l’atelier a pour rôle de guider la discussion et de veiller à ce que chaque participant puisse exprimer ses idées et opinions.

Ils ont pour but de recueillir des informations cruciales de qualité dans le cadre de projets centrés sur les besoins des utilisateurs. Et permettent l’obtention de retours riches grâce aux interactions entre les participants. De plus, ils favorisent une approche multidisciplinaire, permettant à différentes personnes ayant des expertises variées, de contribuer à la résolution du problème.

Un atelier UX se compose de deux phases principales. La première phase, appelée la phase de divergence, vise à générer un grand nombre d’idées et de suggestions. Lors de la seconde, étant la phase de convergence, les participants sélectionnent et priorisent les idées les plus pertinentes pour résoudre la problématique. Cette phase de convergence permet de prendre des décisions éclairées en se basant sur les meilleures idées générées en phase de divergence.

Mais alors, quelle différence entre réunion et workshop ? 

workshop-vs-réunion
 

Un workshop est structuré autour de la participation active des membres, tandis qu’une réunion peut parfois être plus directive et passive. D’ailleurs, les réunions visent souvent à discuter de sujets, à prendre des décisions ou à informer les participants, à contrario les workshops se concentrent sur des tâches créatives, de résolution de problèmes, de cocréation, et d’idéation

Vous l’aurez compris tout au long de cet article, l’UX design est la clé pour concevoir une expérience utilisateur agréable, mais il dépend de bonnes pratiques et méthodes spécifiques. C’est en somme le ciment qui lie vos idées et vos concepts, aux besoins de vos utilisateurs. Pour une expérience utilisateur aboutie, nous vous recommendons de passer par une agence en UX design.

Alors, que pouvez-vous faire dès maintenant ? Mettez en pratique ces bonnes pratiques de l’UX design. Intégrez l’UX dès le début de vos projets digitaux. Impliquez les utilisateurs finaux dans le processus de conception. Créez des expériences intuitives et engageantes, avec des graphistes, designer et développeurs. Mesurez les résultats et ajustez en conséquence.

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